Publié le 18/03/24 par Nicolas DUBOSCQ

Chantal GUEN : « Je pense que j'ai toujours eu des bons moments… »

La rédaction est allée à la rencontre d'un binôme bien connu au Stade Laurentin Athlétisme : Chantal GUEN et Monique Struyven. Deux femmes de caractères qui ont bien voulu faire une relecture avec nous de leurs expériences en tant que bénévoles.

Bonjour Chantal, pouvez-vous m’indiquer depuis combien de temps, vous êtes licenciée au Stade Laurentin Athlétisme ? 

Alors, je suis licenciée depuis 96, 97. Et je suis secrétaire depuis les années 2000. 

Qu'est-ce qui vous a motivé à devenir bénévole ? 

J'ai suivi mon mari, qui était dirigeant. Il est devenu vice-président, et donc j'ai suivi. Et je suis devenue bénévole. De plus, j'avais mon fils qui courait. Voilà les raisons pour lesquelles je suis devenue bénévole au Stade Laurentin Athlétisme. 

Et est-ce que vous-même, vous avez fait de l'athlétisme ? 

Oh, non, non, non, je n'ai pas couru (rires). Non, je n'étais que secrétaire et dirigeante, c'est tout. 

Vous êtes donc la « secrétaire » du club. En quoi consiste votre rôle ?

Eh bien, je m'occupe des enfants, de certains papiers. Quand il y a les compétitions, pour les enfants, j'essaie d'être toujours là. Le mercredi, je passe mon après-midi ici (au bureau du Stade Laurentin Athlétisme, ndlr). 

Quels ont été les moments forts que vous avez vécus depuis quasiment 30 ans ? 

Les moments forts ? Des moments forts, on en a eu, mais je ne saurais pas les exprimer. Je pense que j'ai toujours eu des bons moments et c'est pour ça que je continue.

Comment voyez-vous l'évolution du club au fil des années ? 

Ce n’est plus tout à fait la même chose, quoi. Çela a bien changé ! Ce n'est plus tout à fait pareil. Disons que les enfants changent. Pour les compétitions, ils ne viennent plus comme avant... Au sinon, entre nous, c'est très bien. Ça se passe toujours très bien !

Et en tant que bénévole, ces changements, est-ce que ça vous a facilité la vie ou est-ce que ça vous a rendu les choses un peu plus difficiles ?

Non, ça ne m'a pas rendu les choses plus difficiles ! Mais ça m'a…, disons, un peu choquée. Comme je vous l’ai précédemment indiqué : « ce n'est plus pareil ». Je n'ai plus la même sensation, je ressens un petit décalage. Mais j'aime les enfants, c’est pourquoi je continue pour l'instant.

En tant que bénévole, que diriez-vous à des personnes qui seraient intéressées de s'investir pour les autres ? 

Je dirais que c'est bien ! Moi, je suis contente d'être bénévole et c'est un plaisir. Pour preuve, je suis toujours là ! Il faut que les gens s'investissent. J'aimerais que beaucoup de gens deviennent bénévoles.