Publié le 23/01/23 par Nicolas DUBOSCQ

Stade Laurentin Karaté : une cinquantaine de participants pour la « mise de gants » du début d’année

Ce sont 51 combattants qui ont, dernièrement, répondu à l'appel de José Galluccio pour participer à la première des deux «mises de gants» annuelles organisées par le Stade Laurentin Karaté. Des rencontres aux côtés du maître appréciées et attendues !

(Crédit photos : Stade Laurentin Karaté)

Ce n’était vraiment pas un parcours de santé qui attendait les inscrits de cette «  première » de l’année effectuée en kimono ! Au programme de ces réjouissances à la sauce « Shidokan » : ateliers spécifiques, combats en mode « Triathlon » et combats « libres ».

Après un échauffement global, les choses se sont progressivement corsées pour les participants de cette fin d’après-midi rythmée par José. Un rythme que ce dernier a souhaité progressif avec tout d’abord des « spécifiques » durant lesquels chaque inscrit(e) a pu échauffer tous ses membres afin de préparer au mieux l’étape suivante…

Le travail de renforcement musculaire et de gainage ainsi fait, c’est un troisième temps qui attendait les inscrits du moment. Et pas des moindres, il faut le dire ! Car ces derniers allaient participer à des combats de trois rounds d’un 1min30 à la façon « Triathlon des Arts Martiaux* ». Des matchs avec restrictions (avec ou sans poings…) durant lesquels l’objectif est de lutter jusqu’à la soumission…

Une spécificité de cet art martial, créé par Maître YOSHIJI SOENO à la fin des années 70 et importé en France à la fin des années 80, qui propose à chaque concurrent de se battre en combinant les techniques de combat à mains nues, de combat debout et de combat au sol.

Suite à cela, les combattants répartis en deux groupes (boxe ou kick-boxing) se sont adonnés au travail au sol afin de développer leur maitrise de cette compétence très largement utilisée dans cette discipline.

Au terme de ces deux heures des plus « musclées », des combats libres étaient organisés. Pour les plus courageux, une vingtaine au total, ce fut simplement équipé d’un protège dents et d’une coquille. Les autres, quant à eux, se sont livrés à l’exercice d’une manière un peu plus « secure » avec gants et protections… 

Une chose est sûre : ils en redemandent tous ! 

* sous forme de 3 rounds Shidokan Combat version Kyokushinkaï, Shidokan Boxing type Boxe Thaï, Combat libre ou M.M.A

La « mise de gants » en vidéo :